1 « C’est à partir de 1960 environ que l’on se rend compte de la progression vertigineuse des frais de production qui n’est pas compensée par une ascension suffisante du prix du raisin. Il est certain qu’indexé sur les frais de production, notre raisin et notre vin atteindraient aujourd’hui un prix qui ne pourrait plus être compétitif et que notre Neuchâtel serait devenu un article de luxe. » Bulletin officiel des délibérations du Grand Conseil, Neuchâtel, 20 juin 1972, p. 503.

2 « Les neuchâtel rouges ont la couleur du rubis et, quand on parle d’eux, on aime à rappeler qu’ils seraient des bourgogne sans la défaite de Charles le Téméraire ! » Le Nouvel Illustré, 11 mai 1977, p. 120.

3 « Assurer au Neuchâtel une qualité sans cesse améliorée a d’ailleurs été, depuis des décennies, un souci constant des viticulteurs et encaveurs* neuchâtelois. Cette préoccupation a également conduit les autorités à prendre des mesures très sévères pour le contrôle de la vendange et le choix des cépages. Ainsi, par arrêté du Conseil* d’État, seuls sont aujourd’hui autorisés le pinot noir de Bourgogne en rouge, et, en blanc, le chasselas fendant* roux ou vert, le Riesling-Sylvaner, le Sylvaner vert et les pinots blancs ou gris. » RecettesNeuch, 1993, p. 6.

4 « Soulignons en passant que la cabane* de Saleinaz est probablement la seule cabane* valaisanne dans laquelle les touristes se voient, entre autres, offrir du Neuchâtel ! » Courrier neuchâtelois, 7 juillet 1993, p. 24.