8 « Jolie [la cuve], mais très peu connue en dehors des milieux encaveurs et des vignerons qui élèvent eux-mêmes leur vin ? » Nouvelliste et Feuille d’Avis du Valais, 22 octobre 1975, p. 17.

9 « Avoir sa vigne, produire son vin, c’est le rêve commun à bien des Valaisans. Nous avons parlé des communautés bourgeoisiales*, du val d’Anniviers notamment, qui n’ont eu ni trève ni répit avant de posséder leurs vignes aux alentours de Sierre. Mais il faut savoir aussi que les habitants d’Isérables ont les leurs à Leytron, ceux de Salvan à Plan-Cerisier, ceux de Haute-Nendaz à Vétroz, ceux de Bagnes à Fully, et que les paysans du val d’Hérens sont propriétaires-encaveurs à Sion ! » J. Montandon, Le Valais à table, 1975, p. 91.

10 « […] alors, par la même occasion, je leur ferai déguster mon vin et je leur dirai que j’ai mon petit domaine de propriétaire encaveur, ça pourra me faire des clients pour la bouteille… » G. Clavien, Le Partage, 1976, p. 153.

11 « Je m’en voudrais d’oublier le propriétaire encaveur. Il possède ses vignes, fait son vin et se soucie de le vendre. Dans ces temps de grande technique visant à tout rationaliser, on pourrait presque affirmer que c’est un marginal. Il soigne sa vigne à sa manière, sa science étant faite de sûre tradition et de procédés modernes. […] Il existe en Valais de nombreux propriétaires encaveurs. Ils ne cherchent pas à faire fortune avec leur vin, mais ils représentent quand même un important maillon de la chaîne. » J. Follonier et al., Vins du Valais, 1977, p. 40.

12 « C’est une des caractéristiques du vignoble genevois que de s’être organisé essentiellement autour de quelques caves coopératives qui centralisent la plus grande partie de la récolte, la pressent, la vinifient et la commercialisent. Équipées d’un matériel ultramoderne […], ces caves collectives ont fait, dans ces dernières décennies, progresser considérablement la qualité des vins genevois. Les propriétaires-encaveurs privés, qui existent encore, ont suivi le mouvement, et ces vins du bout du lac, si longuement méprisés et décriés, ont acquis droit de cité sur les tables gourmandes de Romandie. » J. Montandon, La Cuisine au fil du Rhône, 1977, p. 100.

13 « Les syndicats chrétiens […] ont dénoncé l’exploitation éhontée d’ouvriers d’origine portugaise, par deux commerçants en vins du Valais central. L’office social est intervenu dans un cas, qui touchait un gros propriétaire encaveur d’Ardon et vient de recevoir la deuxième plainte qui touche un commerçant de Saint-Pierre-de-Clages. » Tribune-Le Matin, 25 septembre 1977, p. 19.

14 « La qualité avant tout. Ce devrait être évidemment le principe directeur de tout vigneron encaveur. Cela ne va pourtant pas de soi. » Feuille d’Annonces du district de Boudry, 5 septembre 1975.

15 « Déjà, le vigneron-encaveur voit le jus du raisin, sain et chargé de sucre, s’écouler du pressoir. Les fermentations passées, il va retrouver une fine goutte, et s’en réjouit. » Nouvelliste et Feuille d’Avis du Valais, 10 octobre 1975, p. 19.

16 « Non, il ne s’agit pas de récupérer après avoir bu un coup de trop, mais de tout autre chose, ainsi que va le démontrer le vigneron-encaveur que nous avons interrogé. » Nouvelliste et Feuille d’Avis du Valais, 22 octobre 1975, p. 17.

17 « Ses habitants [de Salquenen] sont en majeure partie vignerons-encaveurs, de père en fils et il faut bien reconnaître qu’au cours des ans, ils ont su acquérir une réputation enviée. » J. Follonier et al., Vins du Valais, 1977, p. 140.

18 « OFFRES D’EMPLOIS / VIGNERON-ENCAVEUR cherche adolescent de 13 à 14 ans pour les mercredi après-midi, samedi et une grande partie des vacances pour aider aux travaux de vigne et de cave. » L’Express, 25 janvier 1977, p. 8.

19 « Les vignerons-encaveurs suisses lui ont demandé de fondre l’enseigne qui doit les signaler aux passants. » 24 heures, 6 septembre 1977, p. 16.

20 « Les viticulteurs-encaveurs ont tous ou à peu près une activité accessoire pour survivre. » Bulletin officiel des délibérations du Grand Conseil, Neuchâtel, 17 mai 1972, p. 227.

21 « Un viticulteur-encaveur ne possède pas que le vin de ses propres vignes, il offre aussi un assortiment immense de vins suisses ou étrangers, rouges ou blancs, ordinaires ou portant de grands noms, des apéritifs, des liqueurs, des alcools, des spécialités… de quoi se monter une réserve personnelle qui soulèvera l’admiration de vos hôtes. » L’Express, 6 avril 1976, p. 15.

22 « On ne saurait faire meilleure publicité pour une si noble cause ! Diable, les vignerons et viticulteurs-encaveurs et autres éleveurs de Cressier sont fiers de ce qu’ils font. Et ils le disent ! » L’Express, 29 avril 1976, p. 21.