1 « On avait l’air de croire qu’il n’y avait plus de chômage, ou pas encore, ou qu’il avait repris son tout vieux sens du temps des ateliers, quand les sertisseurs, les doreurs, les petits mécaniciens, les pivoteurs [= ouvriers qui liment l’axe des rouages des montres] et les boîtiers chômaient le lundi, courant les bistrots de montagne, et même chômaient le mardi, comptant sur leur talent pour se rattraper. » J.-P. Monnier, L’Arbre un jour, 1971, p. 129.

2 « C’est la crise qui le contraindra, en fin d’apprentissage, à abandonner son métier de boîtier pour passer au service des CFF*, comme employé à la gare des marchandises de Bienne, puis comme conducteur. » Tribune-Le Matin, 9 janvier 1975, p. 3.

3 « Jusqu’aux années 60, les montres étaient pour la plupart rondes, avec quelques motifs qui pouvaient varier d’un modèle à l’autre. Puis les boîtiers ont commencé par acheter des dessins, souvent peu ou mal réalisables. » L’Hebdo, numéro spécial consacré à l’horlogerie, automne 1993, p. 15.