reck n. m.
1.◆ Agrès de gymnastique constitué d’une barre fixe. Faire des exercices, s’entraîner au reck.
1 « Tactiquement j’ai été désavantagé de passer second de mon équipe. Comme au saut du
reste, où mon “tsukahara” pouvait me rapporter davantage. Au reck, donc, ne connaissant pas personnellement la valeur de mes adversaires, j’ai dû mettre
le paquet. » Tribune-Le Matin, 28 novembre 1976, p. 37.
2 « Tout au long du spectacle gymnique, les exercices ont prouvé que les brillants résultats
obtenus durant l’année dans les concours tous azimuts étaient mérités. Ce fut entre
autres le cas lors du passage au reck du champion A. […]. » La Presse, 6 décembre 1993, p. 24.
3 « Après l’entracte, les garçons […] démontrèrent de réelles aptitudes et accomplirent
des prouesses au reck, puis aux barres parallèles ; un avenir prometteur pour ces jeunes. » Journal du Nord vaudois, 21 mars 1995, p. 13.
4 « Des recks, des perches, des espaliers en abondance dans toutes les salles de gym. » Le Nouveau Quotidien, 29 juin 1995, p. 3.
2.◆ Pente raide. Un sacré reck. Beaucoup de skieurs chutent dans ce reck.
Commentaire. 1. Première attestation : 1903 (v. Pier). Emprunt à l’all. Reck, n. n., de même sens. 2. Première attestation : 1921 (Roux). Motivation obscure.
Bibliographie. TappoletAlem ; RouxArgSold 1921 ; Pier ; FEW 16, 686a, reck ; Pid 1984 ; Nic 1987, 1990 ; ArèsParler 1994.
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