1 « Ce n’est pas un chemin, qui mène sur Corgeon, c’est une dérupe. Ça fait combien qu’on en cause de le refaire ? » S. Chevallier, Ces Vaudois !, 1966, p. 116.

2 « Vous êtes bien courageuse de descendre à la gare par cette dérupe. » Enq. CD/II, 1975-1981 (VD Arnex).

3 « Mais c’est ce colossal ouvrage qui fait la qualité de bien des vins. C’est lui qui a transformé tant de “dérupes” en escaliers pour les raisins qui s’y dorent à deux, voire trois soleils : celui du ciel, ici comme ailleurs, celui qui rebondit sur l’eau du lac ou du Rhône et celui enfin dont la chaleur, emmagasinée tout le jour par les pierres des “murettes”, est finalement restituée aux raisins. » L’Express, 6-7 novembre 1976, p. 12.

4 « Les discussions vont bon train ; on se transmet de bouche à oreille des nouvelles ; on raconte des histoires de chasse, comme celle de Firmin qui manqua un bouc à dix mètres. Le bouc fut tué, certes, mais non pas par une balle. Il fila dans la déruppe [sic] et mourut bravement… d’une fracture du crâne. » Nouvelliste et Feuille d’Avis du Valais, 6 décembre 1977, p. 43.

5 « Il s’avère indispensable de munir certaines “dérupes” d’une limitation de vitesse (d’ailleurs, dans l’autre sens, cela rendra service aux parents de préciser que le remorquage n’est pas autorisé). » 24 heures, 30 septembre-1er octobre 1978, p. 46.