5 « Voulez-vous contribuer à assurer la sécurité des enfants de nos écoles ? Alors devenez patrouilleur scolaire / La direction de la Police met au concours un poste de patrouilleur scolaire adulte (hommes et femmes) pour assurer la sécurité et la surveillance des écoliers aux heures d’entrée et de sortie des classes, à l’intersection des rues Jaquet-Droz – Bellevaux notamment. » Bulletin officiel de la ville de Neuchâtel, 1er avril 1993, p. 10.

6 « L’Association des patrouilleurs scolaires du canton* de Genève aimerait répondre à l’article paru dans “La Suisse” du 21 mai 1993 : “Avenir des patrouilleurs scolaires… Salaire excessif ?” […]. Ce salaire tient compte de notre grande responsabilité envers la sécurité des enfants, des inconvénients liés aux conditions météorologiques, de nos quatre aller et retour par jour… Il faut aussi tenir compte que nous ne travaillons que treize heures par semaine, une semaine sur deux (à part quelques exceptions). Etant auxiliaires, nous ne sommes payées que les jours d’école ainsi que cinq semaines de vacances sur les treize semaines de congés scolaires. » La Suisse, 16 juin 1993, p. 14.

7 « À la fin de 1996, la Direction de la Police engageait un groupe de personnes sans emploi auprès de l’Office du travail. Une équipe d’onze collaborateurs a été formée au travail de patrouilleur scolaire adulte. La formation qui leur a été inculquée comprenait notamment la sensibilisation au trafic. Mais ils ont aussi été familiarisés avec la connaissance des bases légales concernant les piétons et du comportement des automobilistes aux abords des passages pour piétons. Ils ont appris les gestes et signes pour régler le trafic, les contacts avec les usagers de la route. » Bulletin officiel de la Ville de Neuchâtel, 7 août 1997, p. 3.